Dans un contexte politique tendu en RDC, Martin Fayulu, figure de l’opposition a, dans une déclaration sur France 24, accusé le président Félix Tshisekedi de commettre une haute trahison. Selon Fayulu, ses actions violent l’article 165 de la Constitution congolaise, qui stipule clairement que toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la nation et l’État.

Fayulu, leader du parti Engagement pour la Citoyenneté et le Développement, a exprimé ses préoccupations lors d’une conférence de presse. Il a déclaré que le président Tshisekedi mène des actions qui mettent en péril la stabilité du pays et sapent les fondements de la démocratie. “La nation ne se laissera pas faire,” a-t-il insisté, appelant les Congolais à défendre leurs droits constitutionnels.

La RDC traverse une période de turbulences politiques, exacerbées par des tensions entre le gouvernement et l’opposition. Les accusations de Fayulu interviennent alors que de nombreux Congolais expriment des inquiétudes quant à la gouvernance actuelle, la gestion des ressources et la sécurité.