Considérée jadis comme un canal très important reliant le centre ville à plusieurs communes de la ville province de Kinshasa, au regard de sa qualité et ses caniveaux bien dressés, plus rien de tel n’existe de la route poids lourd devenue un casse-tête pour ses usagers.
Alors que Kinshasa sort d’un “Kin Bopeto” sans impact positif sur l’environnement, l’opération “coup de poing” du nouveau chef de l’exécutif provincial de Kinshasa semble marcher sur les mêmes plates bandes sur la route poids lourd : des nix de poule, des herbes qui poussent sur la chaussée, tous les caniveaux bouchés, les tuyaux libérant les déchets de la Bralima avec point de chute cette route, c’est le déluge et ce, sous un silence collectif inexplicable.
Il est à ce jour impossible de faire 100 mètres sur ce tronçon sans trous et sans se heurter à la jungle des motocyclistes des “keweseki” ces engins sans rétroviseurs qui sillonnent désormais la ville. Tous les usagers s’en plaignent, excepté les dirigeants de la ville qui passent chaque jour par là dans une indifférence totale.
Un SOS à l’opération coup de poing pour redorer le blason de cette route obtenue de la coopération avec la Japon.