La lutte pour l’instauration de la bonne gouvernance demeure le cheval de bataille de l’inspecteur général des finances et chef de service, Jules Alingete Key. Si cette lutte est un slogan vide pour certains, l’interpellation des uns et des autres et diverses dénonciations démontrent par contre le contraire. Non seulement qu’il a haussé le niveau de contrôle en s’attaquant aux gestionnaires publics, aux membres du gouvernement, aux mandataires publics ainsi qu’aux gouverneurs, Jules Alingete a aussi poussé l’outrecuidance jusqu’à déférer devant la justice des auteurs des faits de détournement.

Pour la première fois dans l’histoire de l’IGF, des prédateurs ont été débusqués des entreprises publiques et placés sous les verrous en l’espace d’une année.

Le cas de Willy Bakonga, qui a traversé le fleuve Congo dans une pirogue pour fuir le contrôle de l’IGF, Kikaya Bin Karubi privé d’une place d’honneur dans le business class, pour une est allé à une destination inconnue.

Au ministère de l’EPST on a précipité de falsifier des factures pour se justifier devant les contrôleurs de l’IGF, mais malgré tout, on a découvre la supercherie et quelques conseillers sont aux arrêts actuellement.

Eteni Longondo, ancien ministre de Santé, remboursé 200.000$ empoché, car acculé par l’IGF et passé plusieurs mois en prison. De son côté, Jolino Makelele a été visé par l’IGF au sujet des frais de retransmission des matchs suspendus.

Aux DG de CNSS, FPI, AAC et INPP désormais chômeurs après avoir été dénoncé par l’IGF. Autant pour leur PCA et DG de Onatra, OCC, CEEC, BTC, REGIDESO, SONAHYDROC, etc.

Dans le viseur de l’IGF aucune catégorie n’est épargné venant de n’importe camps politique.

Jules Alingete reste pourtant imperturbable malgré des multiples complot et fausses accusations. Pour lui, seul la volonté du chef de l’Etat de mettre fin à la gabegie financières et au détournement des deniers publics compte.

C’est ainsi que la délégation française de la Ligue Universelle des Biens Publics lui a décerné la médaille d’or de lutte contre la corruption en RDC.

Une façon de renforcer son combat et de limiter le coulage des recettes et la dilapidation de l’argent de l’Etat.