Selon plusieurs recouvrements, certains mandataires de l’État dont des Directeurs généraux, directeurs généraux adjoints et des mandataires non actifs boudent la volonté exprimée par le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi lors de la réunion des ministres du 28 juin dernier consistant à réduire leurs droits et avantages.

Frustrés, ces derniers se seraient réunis le mardi 08 octobre 2024 à Kinshasa pour arrêter de stratégies afin de passer outre cette décision du Président de la République pourtant saluée par plus d’un congolais.

Rappelons que lors de cette réunion du conseil des ministres, le Chef de l’État avait dénoncé des graves disparités entre les différentes administrations démontrant un politique de rémunération non équitable qui serait à la base d’injustices exagérées.

Il est constaté que plusieurs mandataires de l’État dans leurs entreprises respectives se taillent la part du lion en ayant de salaire atteignant parfois 40 milles et 60 milles dollars américains mensuels. Et à côté des mandataires publics non actifs qui se font payer mensuellement de sommes exorbitants en violation de la loi en la matière.

Raison pour le gouvernement national de statuer sur l’impérieuse nécessité d’apporter une correction des droits et avantages des mandataires publics.

Pour ce faire, l’on note le plafonnement de rémunération des mandataires, un seuil compatible à la santé financière de chaque entreprise étatique et établissement public.

Il y a aussi la rationalisation des dépenses des entreprises et établissement public par la réduction de certains avantages jugés excessifs.