C’est en principe aujourd’hui que sera connu le nom du successeur de Naanga Yubeluo à la tête de la CENI.  Alors que le consensus reste le mode de désignation selon les textes qui régissent les confessions religieuses, il nous revient, de bonnes sources, que les religieux sont (encore) loin de parler d’une seule voix.

Les tractations “secrètes” entamées par les catholiques en vue de trouver le candidat idéal avant la réunion d’aujourd’hui n’ayant pas abouti, tout porte à croire que le vote départagera différents challengers, a confié à 24sur 24 une source au sein des religieux.

Lors de leur dernière rencontre, les confessions religieuses avaient dénoncé les pressions, intimidations et menaces qui les empêchaient de faire correctement et en toute indépendance leur travail.

PM