Une pétition suscite actuellement une vive controverse à l’Assemblée nationale, visant à suspendre Mboso du bureau provisoire en raison de préoccupations liées à un possible conflit d’intérêts et à l’établissement illégal d’une commission chargée de statuer sur les candidatures.

Cette initiative, lancée par un groupe de parlementaires, a rapidement gagné en popularité au sein de l’Assemblée nationale. À ce jour, des centaines de signatures ont été recueillies, témoignant de l’inquiétude grandissante au sujet des actions de Mboso et de leur impact sur l’intégrité du processus décisionnel.

La principale accusation portée contre Mboso concerne un présumé conflit d’intérêts. Ce qui soulève des doutes quant à son impartialité dans l’exercice de ses fonctions.

En outre, la création d’une commission chargée de statuer sur les candidatures a également été remise en question. Selon les plaignants, cette commission aurait été établie de manière non conforme aux procédures légales, soulevant ainsi des doutes quant à sa légitimité. Les signataires de la pétition affirment que cette commission pourrait potentiellement favoriser certains candidats au détriment d’autres, sapant ainsi les principes démocratiques fondamentaux.

En attendant, la tension règne à l’Assemblée nationale, avec des débats houleux et des discussions passionnées entre les partisans de la pétition et ceux qui expriment leur soutien à Mboso. L’issue de cette affaire reste incertaine, mais une chose est claire : la demande de suspension de Mboso du bureau provisoire soulève de sérieuses préoccupations quant à l’intégrité du processus décisionnel au sein de l’Assemblée nationale.