Les actes de violences à l’encontre des femmes en milieu universitaire ont été dénoncés lundi par l’Association des femmes professeures d’université en République Démocratique du Congo dénommée «Cercle Sophie Kanza », via un communiqué de presse qui est parvenu à la rédaction de 24sur24.cd

«Nous, membres du Cercle Sophie Kanza, prenons position et dénonçons les violences faites aux femmes en milieu universitaire suite à un événement produit dernièrement à l’Institut des sciences et techniques médicales de Bukavu dans la province du Sud- Kivu et dont un article intitulé «ISTM Bukavu : un cas de violence physique contre une femme au cœur de l’implosion dans cette institution» a été paru le 11 octobre dernier dans le Journal BKInfo», a-t-on lu dans ledit communiqué.

Cette dénomination de la dépravation des mœurs sur la gente féminine a été faite par les femmes professeures, femmes, chefs d’établissements de l’Enseignement supérieur et universitaire et femmes d’administration.

Ce communiqué a été conjointement signé par la présidente du cercle, des rectrices de l’Université Pédagogique Nationale (UPN), de l’Université du Cepromad (UNIC), de l’Université Notre Dame du Kasayi et de l’Université évangélique en Afrique ainsi que  les directrices générales de l’Institut supérieur des techniques médicales de Kinshasa (ISTM -Kinshasa ), de l’Institut supérieur pédagogique de la Gombe à Kinshasa (ISP-Gombe),  de l’Institut supérieur des arts et métiers (ISAM -Kinshasa ), de l’Institut supérieur des techniques médicales de Beni (ISTM -Beni ) et la coordinatrice de BEBUC.

Des démarches en justice sont également annoncées par cette association en vue de décourager la pérennisation de pareils actes.