La désignation des futurs animateurs de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) ne cesse d’alimenter le débat au sein de la classe politique congolaise. Les violents sont toujours loin d’être accordé entre les parties prenantes au processus électoral.

Dans une déclaration politique à l’occasion de la rentrée parlementaire, le Front Commun pour le Congo (FCC) ne propose qu’un consensus sur les principales réformes électorales et la composition de la centrale électorale soit trouvé entre toutes les parties prenantes majorité, opposition et société civile.

Pour cette plateforme politique chère à Joseph Kabila, il faut que la liberté soit laissée à chaque partie concernée pour la désignation de membres de la CENI, de se déterminer sans pression extérieure aucune.

Le FCC condamne donc, et demande que cesse la pression que le pouvoir exerce sur les confessions religieuses, afin d’obtenir la désignation du candidat de son choix à la tête de la centrale électorale, laquelle pression qu’avait dénoncé les confessions religieuses, dans une déclaration unanime.

En outre, le FCC déclare que ce n’est que quand le consensus demandé aura été trouvé, qu’il désignera ses représentants à la CENI et, subséquemment, ses délégués à la commission paritaire.

Cephas Kabamba