Dans une récente émission télévisée, Alain Bolodjwa, figure politique respectée, a vivement critiqué l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), le parti au pouvoir. Selon lui, l’UDPS a commis une grave erreur en ne prenant pas soin de former ses cadres, ce qui a conduit à des conséquences néfastes pour le pays.

Bolodjwa a souligné que les cadres du parti ont été laissés à leur propre sort et ont dû compter sur la nature pour se former.

Comme qui dirait que le manque de formation formelle des cadres de l’UDPS a engendré des lacunes et des incompétences au sein du parti. Il a même comparé Augustin Kabuya, Secrétaire général de cette formation politique, à un exemple de ce problème, en déclarant : “Qui aimerait que son fils soit comme Augustin Kabuya ?”.

Les critiques d’Alain Bolodjwa soulèvent des questions importantes sur la gestion du parti au pouvoir en ce qui concerne la formation et le développement des cadres. La formation formelle est souvent considérée comme un pilier essentiel pour la croissance et la réussite d’un parti politique. Il est donc crucial de prendre en compte ces critiques et de mettre en place des mesures visant à renforcer la formation des cadres au sein de l’UDPS, afin de promouvoir une gouvernance plus solide et compétente pour le bien du pays.