Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, accompagné des membres de son bureau étaient à l’Université William Booth, ce samedi 17 juin, pour le compte du cadre de concertation entre la CENI et la Société Civile, en marge des élections générales prévues au mois de décembre prochain.

Après l’hymne national exécuté, le premier à prendre parole, Didi Manara Linga, deuxième vice-président de la CENI a lors de sa prise de parole souhaité la bienvenue à tous les participants à cette activité. Il a au nom de la CENI remercié toutes les parties prenantes au processus électoral en cours. Peu avant de circonscrire le contexte dans lequel se tient ce cadre de concertation avec la société civile.

Juste après son mot, plusieurs interventions ont succédé, en l’occurrence, le Directeur juridique de la Commission Électorale Nationale Indépendante, Eddy Kisile qui a brossé devant l’auguste assemblée le cadre légal des dossiers de candidatures comprenant les conditions d’éligibilité, la constitution du dossier, les personnes éligibles, pour ne citer que ceux-là.

À son tour, le Directeur des opérations électorales de la CENI a dans son exposé, rassuré que leur institution sera déployée dans toutes les provinces de la RDC pour assurer le bon fonctionnement du processus dans chaque bureau des votes.

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante, Denis Kadima Kazadi a pour sa part remercié la société civile pour la sensibilisation de la population dans ce processus électoral et rassure le peuple congolais de la tenue des élections dans le délai constitutionnel.

“Avec le vote de la loi sur la répartition des sièges au parlement et sa promulgation par le chef de l’État, la batterie est en marche pour l’organisation des élections dans le délai constitutionnel”, affirmation du patron de la centrale électorale.

Il a dans la foulée, appelé la société civile au respect des engagements et à être responsable du point de vue de l’observation pendant les élections.

“Nous avons besoin d’un pays où l’électorat a un mot et non la CENI.” a conclut Denis Kadima.

Il s’en est suivi de jeux des questions et réponses essentiellement sur le thème du jour entre la CENI et les participants.

Une séance des photos de famille a sanctionnée cette activité.