L’ancien sélectionneur national des Léopards de la République Démocratique du Congo (RDC), Jean-Florent Ibenge, s’est dit consterner et dit n’avoir pas eu des preuves pour étayer ces faits.

L’actuel entraîneur d’Al Hilal Omdurman (Soudan) a été cité dans cette affaire de n’avoir rien fait alors qu’il avait eu vent de ces pratiques. Mais il s’est défendu de n’avoir pas eu des preuves tangibles pour dénoncer quoi que ce soit.

“Dans l’affaire révélée sur les abus sexuels dans le football congolais, je tiens à dire que je suis très favorable que les choses sortent au grand jour et que les victimes puissent porter plainte afin que les cours et tribunaux puissent agir en conséquence avec des preuves à l’appui. Preuves que je n’ai jamais eues et que je n’ai pas d’ailleurs, soit dit en passant. Par contre, profiter de ces faits graves pour me salir en insinuant que “j’ai défendu ça” est ignoble et tient de la méchanceté gratuite voir du désir de nuire assurément.
Tout le monde me connaît et connaît mon engagement dans le domaine de l’enfance et de l’épanouissement de tout un chacun et notamment de nos joueurs.
Je me réserve le droit de porter plainte à l’avenir”, a-t-il dit dans un message qu’il a relayé lui-même sur les réseaux sociaux.

Pour rappel, la presse française a fait des graves révélations sur des pratiques malsaines qu’auraient subi des athlètes congolais, tout sexe confondu, par les encadreurs techniques. La Fédération Congolaise de Football Association (Fecofa) a diligenté pour ce faire une commission d’enquête pour s’en acquérir véritablement de la situation