48 heures après le réquisitoire du Procureur général près la cour de cassation aux fins d’instruction contre le Jean-Marc Kabund, le bureau de l’Assemblée national vient d’autoriser, ce lundi, les poursuites contre le député précité.

Accusé d’ « injures publiques, imputations dommageables, outrage au chef de l’Etat et propagation des faux bruits », l’ancien vice-président de la chambre basse risque 1 à 5 ans de prison, s’il arrivait à être reconnu coupable des faits lui imputés.

A la tête d’un nouveau parti politique, Kabund a Kabund, s’est rangé, au cours d’un point de presse lundi 18 juillet, du côté de l’opposition à Félix Tshisekedi, affirmant que ce dernier était un danger pour la République.
Récemment, les travaux d’aménagement d’un stade municipal qu’il a initiés dans le quartier Kingabwa ont été suspendus.

PM