Bien que la situation soit similaire partout ailleurs à travers le monde, pas d’amélioration avant la mi-septembre à Kinshasa.
Il y a baisse sensible des stocks avoue le ministère des Hydrocarbures, qui met
en place un plan de contingentement avec “limitation du volume en litre par véhicule”.

Pour l’association des chauffeurs du Congo, “nos autorités doivent apprendre à communiquer à temps. Elles doivent précéder les évènement et non en subir, les conducteurs des véhicules sont obligés de donner jusqu’à 10 mille francs comme pourboires avant de s’approvisionner”, déplore André Lisimbu.

Pendant ce temps, Kinshasa vit depuis lundi au rythme d’interminables files d’attente et d’ embouteillages sur toutes les artères de la capitale et comme toujours, la population est obligée de faire le pied pour rallier le lieu du travail et vice versa. La course à moto taxi varie d’un coin à un autre.

JP.