Conduit dans un centre hospitalier par les éléments de la police après avoir été touché par quelques débris de gaz lacrymogènes, la victime, Damien Badiabaka Zola, enseignant à l’EP Don Bosco,se porte mieux après un long saignement.
” Nous étions entrain de marcher pour réclamer notre droit qui est légitime, arrivée au rond point victoire,les policiers, commandés par le major Wens, sont venus nous attaqués, ils m’ont blessés à l’aide d’une balle au niveau de la tête, j’ai commencé à saigner, eux- même m’ont transporté rapidement dans ce centre de santé pour de soins appropriés”, a-t-il relaté.

Bien que sa vie ne soit pas en danger,cet enseignant ne jure que justice soit faite pour que paraille atrocité ne se reproduise.

“Que le policier auteur de cet acte soit traduit en justice,parce que, c’est un droit légitime que j’étais entrain de réclamer,me tuer pourquoi ? “, s’est interrogé Damien Badiabaka qui ne comprend pas la brutalité avec laquelle ces éléments de la police, parents comme eux, ont agi bien étant sous ordres.

” Nous n’avons insultés personnes,ni le chef de l’État ni le ministre,on était entrain d’aller déposer notre mémorandum au palais du peuple, nous avons marchés parce que le gouvernement n’honore pas ces engagements, ils nous ont promis depuis deux ans payé les deux palliers mais jusqu’à présent pas de suite”, s’est indigné cette victime.
La marche partie du siège du Synecath à Bongolo,a été réprimée au niveau même devant le palais du peuple où les enseignants c’étaient donnés rendez-vous.

JP.