Régulier dans la participation à la course du représentant de la population de Budjala à l’Assemblée nationale, l’élection écrasante, depuis 2006 jusqu’à ce jour, de Jean Lucien Bussa lui créée de plus en plus des ennemis. Jadis, ces malintentionnés oeuvraient en coulisses, aujourd’hui il ne se cachent plus, et, leur côté machiavélique est mis sur le podium.

Le président national du CDER et coordonnateur de la CODE caracole au summum des résultats de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), réalité qui lui propulse à la tête du leadership de la province du Sud-Ubangi.

Victime de son succès, Jean Lucien Bussa a été, à l’issue des élections du 20 décembre dernier, accusé faussement, après un montage grossier de ses détracteurs, d’avoir occasionné fraude et tricherie lors de l’opération de vote dans le territoire de Budjala. Des accusations balayées par un rapport de service de sécurité intitulé « Rapport circonstancié des irrégularités constatées pendant les élections du 20 decembre 2022 dans le territoire de Budjala » signé par le comité local de sécurité. Bien que plusieurs irrégularités ont été signalées, nulle part, dans ce rapport, l’on cite la participation effective de Jean Lucien Bussa dans ces différentes forfaitures. D’où, le Ministre du Commerce extérieur est “lavé de tout soupçon”.

Pour le camp Bussa qui dénonce la présence d’une main noire derrière ce dossier, la centrale électorale ne doit pas être transformé à une instance de règlement de compte des politiques véreux qui tentent à tout moment d’étouffer la montée des autres.

Étaler en plein jour, cette entreprise maléfique a échouée. Le CDER et la CODE ont bénéficié de la force de Jean Lucien Bussa pour obtenir le plus grand nombre de députés élus dans ce coin de la République. Conséquence logique, la famille politique de Bussa s’impose en leader dans le Sud-Ubangi. Des résultats sans précédent qui, certe, font l’objet de toutes sortes des stratagèmes et des machinations politiciennes visant à discréditer cette famille politique qui a, sans doute aucune, porté la candidature du numéro 20 à la présidentielle de décembre 2023.

Les avertis du monde politique savent que, point n’est besoin de faire des incantations dans les réseaux sociaux après la publication des résultats par la CENI, il serait plutôt impérieux de recourir aux voies légales pour avoir gain de cause dans le cadre du contentieux électoral, en lieu et place de vociférer en tentant de jeter de l’opprobre à la réputation des heureux élus du peuple, les vrais d’ailleurs.

À noter que, après le rapport de service, le conseil de Bussa avait, en date du 8 janvier 2024, porté plainte contre les auteurs de ces fausses accusations cités par par le rapport de service de sécurité, pour fait d’imputation dommageables, diffamation, dénonciation calomnieuse et propagation des faux bruits.