C’était un lundi 02 mai 2022 très décisif à l’assemblée nationale où les députés étaient appelés au débat de la loi électorale sur les différents amendements des articles y afférents.

Réformes portées par le G13, toutes ces questions ont rencontré les préoccupations des élus du peuple.

Dans sa réplique, ce groupe mené par Delly Sesanga a rejeté en bloc plusieurs amandements entre autre, la loi sur le mode du scrutin.
A cet effet, pas de deuxième tour, aux scrutins présidentiels de 2023, le débat à l’assemblée nationale sur la loi électorale a tranché, un seul tour, pas moyen de revisiter la constitution étant donné que le pays est en état de siège.

La loi sur la congolité comme exigence d’après Nsingi Pululu pour se faire élire, est hors du périmètre de la présente réforme.

En ce qui concerne la suppléance, les députés ont mis fin à tous ceux qui ont voulu prendre comme suppléant un membre de famille.

Les personnes ayant commises de crimes contre l’humanité, crimes de geurre, viol sont inéligibles aux élections de 2023.

Espérons qu’avec cette réponse, les tensions autour des prétentions et visés politiques vont baisser.

JP.