Banquiers, opérateurs de téléphonies et immobiliers, avocats sont à l’école de la conformité.
L’initiatrice de cet atelier, la Cellule Nationale de Renseignement Financier (CENAREF) est en pleine campagne de sensibilisation pour que le pays retrouve les normes internationales.

“Cest l’une des voix pour empêcher notre pays de subir des conséquences fâcheuses sur son système économique financier. Le secteur banquier de la RDC a globalement une bonne compréhension des risques de blanchiment des capitaux et de financement de terrorisme et met en œuvre les mesures de vigilance à l’égard de la clientèle”, a fait savoir Adler Kisula Betika, Secrétaire exécutif de la CENAREF.

Le secrétaire exécutif Adler Kisula dément l’information selon laquelle la RDC serait sous le viseur de la finance internationale.

“La RDC ne sera pas inscrite sur la liste noire du Groupe d’Action Financière (GAFI), le GAFI nous a donnés un plan d’actions que nous devons exécuter entre 2022 et 2025. C’est à l’issue de l’exécution de ce plan d’action qu’il va apprécier notre dispositif d’anti blanchiment”, a-t-il rassuré.

Depuis son avènement à la tête du pays le Président de la République Félix Tshisekedi fait de la lutte contre le blanchiment des capitaux son cheval de bataille.