L’amélioration des conditions salariales, sociales de ses membres, sont les revendications qu’évoque le syndicat national des chefs de travaux et assistants de la République Démocratique du Congo en ce premier jour de grève.

“Rien n’est tard, nous allons continuer à revendiquer nos droits, on ne comprend pas que nous qui formons cette élite qui gagne plus de 2500$, pas de rentrée académique sans nous”, ont déclaré ces membres qui sont déterminés de ne pas reprendre les activités académiques si l’état congolais ne répond pas à leur desiderata.

Au même moment, le ministre de l’ESU va procéder au lancement officiel de la rentrée académique 2022-2023. Une rentrée qui risque d’être perturbée avec cette grève de corps scientifiques.

JP.