Constant Omari Selemani ne briguera plus un autre mandat à la tête de la Fédération Congolaise de Football Association (Fécofa). Il l’a fait cette annonce dans les médias depuis plusieurs semaines. Cette grosse décision apportera des grands chamboulements et fera entrer cette instance dans une période incertitude au regard du nombre d’années que le président sortant à exercer.

Mais le temps que la période électorale subvienne au mois de décembre 2021, la Fécofa est focalisée pour l’instant à trouver «l’homme de la solution» à la tête de la sélection nationale. Les discussions son en cours après les rumeurs des arrivées quelques noms de techniciens expatriés. La réponse sera connue dans les jours à venir sachant que les prochaines échéances arrvent au mois de juin. Ce sélectionneur aura sans nul doute pour objectif de faire revenir la République Démocratique du Congo (RDC) dans une Coupe du monde, plus de 40 ans après son unique participation en 1974 en Allemagne. Et ce, après que cette dernière ait echouée à se qualifier pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) au Cameroun.

«Nous en sommes pour l’instant à la réception des candidatures. Une fois que des profils auront été sélectionnés, il faudra entamer des discussions avec le gouvernement, puisque c’est lui qui paiera le salaire – financièrement, la Fecofa dépend largement de lui. Mais je pense que l’État est prêt à faire un effort, bien sûr dans les limites du raisonnable, car cette qualification pour la Coupe du monde est aujourd’hui une ambition nationale», a confié le président de la Fécofa à nos confrères de Jeune Afrique.

La Fécofa avait initiée une politique de valorisation des techniciens locaux pour la prise en charge des sélections nationales. Cette dernière a, plus ou moins, bien marché avec Jean-Florent Ibenge Ikwange mais n’a pas eu d’effets voulus avec Christian Nsengi Biembe. Quelque part, la polique en soi n’est pas mauvaise , mais elle doit subir une sérieuse évaluation qui permettra d’établir des options qui feront en sorte que cette solution soit péreinnen afin de conserver son objectif premier qui permettra la mise en valeur du savoir-faire congolais.