Présenté non seulement comme la première en Afrique, mais aussi comme le 1er investissement privé depuis l’arrivée de Tshisekedi au pouvoir, les travaux de la centrale solaire photovoltaïque n’ont jamais démarré. Et ce, une année après la pose de la première pierre par le Président de la République.

Contactée par la rédaction, ni la communication du gouverneur de la ville de Kinshasa, moins encore celle du ministère de l’énergie n’ont été à même d’en dire plus, faute “d’informations précises”.

Avec une capacité de 1000 magawatts, le projet “Kinshasa Solar city” était présenté comme une solution pour remédier au déficit énergétique dont souffre la capitale.

L’infrastructure devrait coûter 1 milliards USD, qui devraient ensuite être remboursé par l’État, sur une durée de 25 ans.

PM